Sans Lamballage

Presse

Lamballe-Armor. « La Plus Petite Foire aux vins » à la boutique Sans Lamballage

Lamballe-Armor. « La Plus Petite Foire aux vins » à la boutique Sans Lamballage Justine Genty, gérante du magasin Sans Lamballage, organise une soirée dégustation intitulée « La Plus Petite Foire aux vins », vendredi 30 septembre 2022, de 18 h à 21 h. La boutique Sans Lamballage​, spécialisée dans le vrac et le zéro déchet, située à Lamballe-Armor (Côtes-d’Armor), accueillera bientôt un rayon vins. Pour l’occasion, Justine Genty, gérante du magasin, organise une soirée dégustation intitulée La Plus Petite Foire aux vins​. Présence d’un producteur de la région nantaise   Elle aura lieu vendredi 30 septembre 2022, de 18 h à 21 h, à la boutique Sans Lamballage, au 8, rue de la Ville-Es-Lan. Il y aura notamment un producteur de la région de Nantaise, des producteurs originaires de Lamballe : la cidrerie Benoit ainsi que le brasseur local Monsieur Toud. Ainsi que d’autres vins de producteurs récoltants de plusieurs régions, Alsace, Bordeaux, Languedoc, Loire, Côtes du Rhône… « Fidèle à sa réputation, la sélection de Sans Lamballage ​est resserrée, mais de qualité avec une très grande majorité de vins en dessous de 10 € », précise la gérante. Vendredi 30 septembre 2022, de 18 h à 21 h, à la boutique Sans Lamballage, 8, rue de la Ville-Es-Lan à Lamballe. Inscription via le lien internet : https://sanslamballage.fr/actualites/evenement/foire-aux-vins-30-septembre-2022/ Source : Lamballe-Armor. « La Plus Petite Foire aux vins » à la boutique Sans Lamballage (ouest-france.fr)

Lamballe-Armor. « La Plus Petite Foire aux vins » à la boutique Sans Lamballage Lire la suite »

À Lamballe, « la vente en vrac se porte bien »

À Lamballe, « la vente en vrac se porte bien » Justine Genty est la propriétaire de la boutique de vente en vrac Sans Lamballage, situé dans la zone de la Ville-es-Lan, à Lamballe (Côtes-d’Armor). Après un an d’ouverture, elle fait un petit bilan. Trois questions à Justine Genty, propriétaire de la boutique de vente en vrac Sans Lamballage, situé dans la zone de Ville-es-Lan, à Lamballe (Côtes-d’Armor). Vous êtes installée dans la zone depuis un an. Le concept sans emballage et en vrac fonctionne bien ? Au début, les clients sont venus par curiosité, pour découvrir le concept, mais au fil des mois une clientèle d’habitués s’est créée et de nouveaux visages apparaissent régulièrement. Ils sont de plus en plus à venir avec leur contenant (sac en tissu, bocal, boîte plastique…) ce qui n’était pas le cas au début. Il y a toujours des sacs kraft à disposition ainsi que quelques bocaux de récupération. Des changements depuis votre installation le 19 février 2021 ? La boutique a évolué en fonction des remarques et de la demande des clients. Il y a beaucoup plus de produits et de références. Chaque semaine, je mets un point d’honneur à faire découvrir de nouveaux produits. Dans la mesure du possible, j’essaie de m’approvisionner chez des fournisseurs locaux. Les fromages viennent de Ruca et Planguenoual, les légumes d’Erquy et Saint-Lormel… Je suis toujours curieuse de rencontrer de nouveaux producteurs ! Chaque mois, je mets en vente un kit surprise comprenant une recette salée ou sucrée avec ses ingrédients. Le client découvre la recette en arrivant à la maison. Depuis peu, je suis adhérente à la carte Lamballe Pass. Le fait d’être excentré, est-ce un désavantage pour le commerce ? C’est un fait que les clients préféreraient voir le magasin en centre-ville, mais il y a des inconvénients et le premier, c’est la difficulté pour se garer. Devant mon commerce, il y a assez de place pour mes clients. Le panier moyen est assez lourd, surtout quand les contenants sont des bocaux, alors avoir sa voiture à la sortie de la boutique, les clients, apprécient de ne pas avoir à faire 500 m les bras chargés. Le bouche-à-oreille a bien fonctionné. Mon adresse est facilement localisable. Sans Lamballage, 8, rue de la Ville-es-Lan, à Lamballe, tél. 02 96 51 11 97. Source : À Lamballe, « la vente en vrac se porte bien » (ouest-france.fr)

À Lamballe, « la vente en vrac se porte bien » Lire la suite »

Huit idées pour (L) emballer ses cadeaux de manière responsable

Huit idées pour (L) emballer ses cadeaux de manière responsable Et si cette année, pour les fêtes, on se passait de papier cadeau, tout en gardant la magie de l’ouverture des présents au pied du sapin ? Pour avoir des idées ingénieuses pour faire autrement, Justine Genty, une pro du zéro déchet, dans sa boutique Sans Lamballage. Chaque année, en France, Noël est l’occasion de doubler notre quantité d’emballages à environ 2 kg par jour. Aussi pour limiter cette année les emballages cadeaux dans les poubelles, voici huit idées proposées par Justine Genty pour réinventer le papier cadeau ou bien s’en passer. 1 Le papier cadeau recyclable À condition d’être un tant soit peu précautionneux au moment de l’ouverture du paquet, il y a toujours moyen de récupérer tout ou partie d’un papier cadeau « classique » qui, une fois plié, pourra être à nouveau utilisé. 2 Le papier kraft S’il n’y a pas de papier cadeau, le papier kraft reste une bonne alternative. Certes, ce n’est pas vraiment une solution zéro déchet. Mais il s’agit néanmoins de papier cadeau écoresponsable issu du recyclage du papier, et recyclable. Reconnaissable avec son coloris beige, le papier kraft donne un aspect rustique aux cadeaux qu’il enveloppe. On peut l’entourer d’un ruban ou avec une ficelle puis glisser une petite branche de sapin, de houx ou même d’eucalyptus dessous. Effet garanti ! 3 Le papier journal Cette solution antigaspi est bien connue des grands-parents, qui avaient pour habitude de récupérer les journaux pour emballer les cadeaux (ou nettoyer les fenêtres !). Si on est abonné à un titre, on peut tout au long de l’année mettre de côté certaines pages. Pourquoi pas celles des dates anniversaires ou encore celles de la montée de l’équipe de foot préférée ? Il y a mille idées à imaginer. Et en plus, une fois le cadeau déballé, il y a aussi de quoi lire ! 4 Le sac en tissu Si Justine recommande de les confectionner soi-même, à partir de morceaux de tissu, de vieux tee-shirts ou encore de draps, il est aussi possible de les acheter tout faits. Ensuite, ils pourront servir de pochettes pour ranger les chaussettes ou les sous-vêtements dans les valises. 5 Le furoshiki D’inspiration japonaise, le furoshiki consiste à emballer ses paquets avec du tissu, plié et noué d’une façon particulière. Justine conseille de ne pas les acheter tout faits car ils coûtent assez cher. Un morceau de tissu récupéré, une chute de rideau, un foulard, de nombreux tutos existent sur le web. Pliez, et le tour est joué !   6 Chaussette Et pourquoi pas une chaussette ? Si on a la paire, c’est encore mieux. On met la seconde au fond de la première pour amortir si le cadeau est fragile. 7 Bee wrap Emballage alimentaire écologique, lavable et réutilisable fait à base de cire d‘abeille, le bee wrap peut être utilisé pour recouvrir un bocal, un récipient, un objet. Le décor est insolite, et l’effet unique. Ensuite, il trouvera tout à fait son utilité en cuisine à la place d’un film alimentaire, ce qui est sa destination première. 8 Bocal, boîte, caisse en bois En fonction de la taille du cadeau, celui-ci pourra être présenté dans un bocal, une jolie boîte ou encore une caisse en bois (on peut en trouver chez son caviste ou un panier en osier)… Quels que soient les emballages écologiques retenus, les cadeaux qu’ils cachent feront à coup sûr leur petit effet. Alors, prêts à passer au papier cadeau écolo ? Source : Lamballe-Armor – Huit idées pour (L) emballer ses cadeaux de manière responsable – Le Télégramme (letelegramme.fr)

Huit idées pour (L) emballer ses cadeaux de manière responsable Lire la suite »

Sans Lamballage a ouvert ses portes vendredi 19 février à Maroué

Sans Lamballage a ouvert ses portes vendredi 19 février à Maroué Quand une prof d’économie sociale décide de mettre en pratique son savoir, cela donne un magasin de vrac, sans superflu, et une belle aventure qui démarre à la Ville-ès-Lan. Vendredi, l’heure de la rentrée a sonné pour Justine Genty ex-professeure en économie sociale et familiale, qui a décidé de changer de cap en ouvrant son épicerie en vrac à La Ville-ès-Lan, à Maroué (à côté des Meubles Oléron). Un virage, pas tant que ça puisqu’elle voit dans ce nouveau métier la continuité de ce qu’elle enseignait, notamment consommer moins, mieux, réduire les déchets, faire ses courses du quotidien, en quantité, à la demande et sans emballage superflu. Source : Lamballe-Armor – Sans Lamballage a ouvert ses portes vendredi 19 février à Maroué – Le Télégramme (letelegramme.fr)

Sans Lamballage a ouvert ses portes vendredi 19 février à Maroué Lire la suite »

Une cagnotte participative pour aider l’ex-enseignante à lancer son épicerie vrac

Une cagnotte participative pour aider l’ex-enseignante à lancer son épicerie vrac  Le plus important ce n’est pas le contenant, c’est ce qu’on met dedans !  ​Voici toute la philosophie de la future épicerie vrac de Justine Genty. À partir du mois, de février, la jeune femme de 28 ans va ouvrir un espace de 110 m², entièrement dédié au zéro déchet. Son local, situé au 8, rue de la Ville-Es-Lan, à Lamballe (Côtes-d’Armor), est encore vide, mais Justine a de l’ambition. « Si j’ai mis le nez dans la vente, c’est grâce à mes élèves »   Elle souhaite proposer aux Lamballais une épicerie où l’on trouve des produits frais comme du fromage, beurre, fruits et légumes, ou secs : pâtes, riz, farine… Mais aussi des cosmétiques (savon, shampoing, dentifrice, déodorant…) et des produits d’entretien (produits désinfectants, ou détergeant par exemple). L’objectif de Justine Genty est de privilégier des produits locaux ou français, issus de l’agriculture biologique. Le tout : sans emballage. Pour se servir,  le client amène son propre contenant, et ne paye que le produit ​, précise Justine Genty. Un salon de thé pour apprendre le zéro déchet    Quand j’ai commencé ma démarche zéro déchet, je devais faire plusieurs déplacements pour trouver ce dont j’avais besoin ​, explique la Costarmoricaine. Originaire de Lamballe, Justine Genty s’est rendu compte qu’il n’existait pas de boutique proposant des produits sans emballage locaux ou français. Elle a donc fait de son envie, une réalité. Après quatre années d’enseignement en lycée professionnel, la professeure en Économie sociale et familiale avait  l’impression d’être arrivée au bout de quelque chose ​. Il y a un an, l’idée a germé, et l’enseignante a choisi de se lancer et d’entreprendre.  J’encadrais des élèves en CAP Services aux personnes et vente en espace rural (SAPVER). Si j’ai mis le nez dans la vente, c’est grâce à eux ​, raconte la jeune femme. Un ancien métier qui semble pourtant se refléter dans ce nouveau projet. En plus de l’épicerie sans emballage, la boutique Sans Lamballage proposera un espace salon de thé pour s’y détendre, mais aussi, pour apprendre sur le zéro déchet grâce à des animations et des ateliers.  Je l’ai appris en enseignant, il ne suffit pas de donner un support. Pour comprendre, il faut aussi l’explication ​, indique Justice Genty. Pour l’aider à ouvrir sa boutique, la nouvelle gérante a lancé une cagnotte participative. Le principe ? À chaque somme versée, Justine propose un don en contrepartie. Par exemple, pour 15 €, un sac vrac est offert. La somme récoltée lui permettra d’investir dans des produits coûteux comme  des silos entièrement conçus et fabriqués en France , ou encore,  un lave-vaisselle professionnel ​. Renseignements : Sans lamballage, 8 rue de la Ville-Es-Lan, Lamballe. Facebook : Sans Lamballage. Cagnotte participative : www.miimosa.com/fr/projects/sans-lamballage-epicerie-vrac-et-salon-de-the Source : Lamballe. Une cagnotte participative pour aider l’ex-enseignante à lancer son épicerie vrac (ouest-france.fr)

Une cagnotte participative pour aider l’ex-enseignante à lancer son épicerie vrac Lire la suite »

Le vrac, Justine Genty, ça l’emballe !

Le vrac, Justine Genty, ça l’emballe ! À l’instar de ses élèves, le 18 décembre dernier, Justine Genty a aussi rangé ses livres et ses cahiers. Mais à la rentrée, la professeure ne reprendra pas le chemin du lycée mais celui de son épicerie de produits vracs sans emballage, zone de la Ville-es-Lan. Si le local de sa future épicerie est encore en travaux, Justine Genty se projette pourtant quasiment les yeux fermés dans les 110 m². Il faut dire que ce projet, la Lamballaise de 28 ans y travaille depuis maintenant un peu plus d’un an, entre ses cours d’économie sociale et familiale dans des lycées du secteur, notamment en CAP « services à la personne » et CAP « vente en espace rural ». Les techniques de vente donc, la jeune femme, elle maîtrise plutôt très bien, tout comme la gestion des stocks et les budgets. Pour ce qui est du « 0 déchet » et du « Do It Yourself », là encore, Justine Genty n’est pas une novice loin s’en faut ! « Dans ma famille, on a toujours jardiné, cuisiné et recyclé. Même les filtres à café sont faits maison ! » Source : Lamballe-Armor – Le vrac, Justine Genty, ça l’emballe ! – Le Télégramme (letelegramme.fr)  

Le vrac, Justine Genty, ça l’emballe ! Lire la suite »

Son épicerie déclare la guerre aux déchets plastiques

Son épicerie déclare la guerre aux déchets plastiques L’épicerie en vrac Sans Lamballage ouvre vendredi 19 février à Lamballe. Avec le principe zéro déchet, Pauline Genty montre qu’on peut faire ses courses sans remplir ses poubelles. Ne jetez plus vos boîtes en carton ou vos pots en verre ! Chez Sans Lamballage à Lamballe, les produits ne sont pas conditionnés par portion comme dans les supermarchés. Même le beurre s’affiche en un énorme bloc dans la vitrine réfrigérée de la boutique. Que ce soit pour les céréales, le café, les cosmétiques, ou les produits ménagers, « le client prend la quantité qu’il souhaite », précise Pauline Genty, la fondatrice de cette épicerie de vrac. Le principe est de venir avec ses propres contenants. « J’ai aussi des sacs en papier réutilisables et des bocaux en verre, mais l’idée c’est que les clients reviennent avec, explique Pauline Genty. Il y a déjà des producteurs qui jouent le jeu en récupérant les contenants des livraisons pour me les ramener avec les suivantes. Les producteurs locaux à l’honneur Dans cette démarche écologique, on retrouve forcément d’autres préceptes : « Hormis pour des produits comme le café qu’on ne peut trouver ici, je privilégie des producteurs locaux. J’aurais aussi bientôt en magasin les ingrédients permettant de fabriquer ses propres produits ménagers. » Si elle attend une certification bio pour certains produits, « ce n’est pas l’objectif premier du magasin. » Certains produits ne s’y trouveront néanmoins pas, « parce que c’est très contraignant », assure-t-elle. « Pour les liquides ou les produits frais, c’est plus compliqué. Il faut que les produits puissent se conserver un minimum, je ne veux pas avoir à jeter à la fin de la semaine. Pour des yaourts par exemple, on pourra peut-être fonctionner à la commande. Notre offre va de toute façon s’adapter aux suggestions des clients. » « J’avais besoin de changer d’air » A 28 ans, c’est un changement de cap radical pour Pauline Genty, qui était encore enseignante avant les vacances de Noël et se retrouve gérante d’une épicerie deux mois plus tard. « J’avais besoin de changer d’air, explique-t-elle. ça fait un an que je suis sur le projet. A titre personnel, j’ai accentué ma démarche zéro déchet et je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas d’épicerie de vrac à Lamballe. » Et elle n’est visiblement pas la seule : sur Internet, une cagnotte lui a permis de récolter 3250€ pour l’aider à aménager son épicerie. Source : Lamballe. Son épicerie déclare la guerre aux déchets plastiques | Le Penthièvre (actu.fr)

Son épicerie déclare la guerre aux déchets plastiques Lire la suite »

Sans Lamballage a ouvert ses portes, à Lamballe

Sans Lamballage a ouvert ses portes, à Lamballe ​C’était la rentrée pour Justine Genty. L’ancienne enseignante a ouvert son épicerie en vrac, ce jeudi 18 février 2021, à Lamballe (Côtes-d’Armor). Objectif : une boutique sans emballage et salon de thé avec ateliers zéro déchets. Dans son local situé au 8, rue de la Ville-es-Lan, à Lamballe, Justine Genty propose des produits frais comme du fromage, du beurre, des fruits et légumes, ou des produits secs : pâtes, riz, farine… Mais aussi des cosmétiques et des produits d’entretien. Le concept : apporter ses propres emballages et ne payer que le produit. « Beaucoup viennent déjà avec leur propre récipient », assure la jeune femme. Les clients sont responsables de leurs récipients et de leur propreté. Des ateliers pour apprendre le zéro déchet seront mis en place dans la future partie salon de thé. Cagnotte participative L’ancienne enseignante de 28 ans, avait lancé une cagnotte participative pour acheter des silos contenant les produits en vrac. L’objectif de 4 000 € est presque atteint, avec 3 250 € récoltés. Elle a ainsi pu se procurer les fameux silos, fabriqués en France. La boutique est ouverte en continu, de 10 h à 18 h, pendant la période du couvre-feu. Source : https://www.ouest-france.fr/bretagne/lamballe-armor-22400/sans-lamballage-a-ouvert-ses-portes-a-lamballe-7160905

Sans Lamballage a ouvert ses portes, à Lamballe Lire la suite »

Sans Lamballage. La vague de l’épicerie vrac arrive à Lamballe (22) 

Sans Lamballage. La vague de l’épicerie vrac arrive à Lamballe (22) avec l’ouverture d’un premier commerce A 28 ans, adepte du zéro déchet, Justine Genty tourne le dos à l’enseignement pour ouvrir, à Lamballe, la première épicerie vrac. Egalement salon de thé, Sans Lamballage devrait accueillir ses premiers clients, courant février prochain, dans un espace de 110 m² situé en pleine zone industrielle en périphérie de Lamballe, dans les Côtes d’Armor. Sensibiliser les habitants à consommer moins et de préférence des produits locaux, tout en recréant du lien social c’est tout l’enjeu de ce nouveau projet. Multi-diplômée en économie sociale et familiale sciences sociales (dont Master 2 « Enfance, Jeunesse : Politiques et accompagnement obtenu » à l’EHESP de Rennes), Justine Genty a commencé sa carrière en tant qu’enseignante titulaire au sein du lycée agricole de Quessoy : « Après quatre années d’exercice, à la rentrée 2019, j’ai réalisé que j’étais arrivée au bout de ce que je pouvais apporter aux élèves. J’avais besoin de créer quelque chose pour avancer. Issue d’une famille où les questions de gaspillage alimentaire ont toujours été présentes, j’ai entamé une démarche zéro déchet depuis quelques temps. Transmettre des gestes et des savoirs autour des questions environnementales ne me suffisait plus. Je voulais agir… voilà en résumé comment le projet a démarré », explique-t-elle. La jeune femme profite du confinement en 2020 pour adhérer au Réseau Vrac, se former à la règlementation en matière d’hygiène et de vente. Elle prend aussi ses premiers contacts avec des producteurs et fournisseurs spécialisés ainsi que les réseaux d’accompagnement à la création d’entreprise, BGE, Armor initiative et la CCI des Côtes d’Armor. Le choix de Lamballe « En septembre 2020, ne pouvant obtenir une rupture conventionnelle auprès de mon lycée, j’ai décidé de démissionner. Certes j’aurais pu prendre une disponibilité de trois ans, mais je sentais que cette option me bloquerait dans mon projet, dans l’obtention de certaines aides, voire le choix de mon statut ». Malgré les incertitudes sur les perspectives économiques, Justine Genty quitte donc définitivement son poste en décembre dernier, plus déterminée que jamais à ouvrir sa boutique Sans Lamballage. « Lorsque j’ai commencé ma démarche zéro déchet à Lamballe, j’ai constaté qu’il y avait peu de magasins qui proposaient des produits en vrac. J’étais souvent obligée de faire plusieurs commerces et d’aller au-delà de la ville pour compléter mon panier. C’est pour cette raison que j’ai choisi Lamballe ». Zéro déchet et lien social Dans la filière alimentaire, le vrac existe depuis longtemps en fruits et légumes, même si certains produits restent préemballés. Il en va de même pour les produits vendus à la coupe, tels que les fromages, la viande, etc. Mais le vrac aujourd’hui concerne désormais bien d’autres produits : céréales, boissons, épices, mais aussi l’hygiène et l’entretien. C’est le modèle retenu par la jeune créatrice. « Dans mon épicerie, on trouvera tout ce qu’on trouve habituellement dans ce type de commerce mais aussi des cosmétiques et des produits d’entretien. Je privilégie des produits sans emballage, locaux et français. Les clients trouveront des produits issus de l’agriculture biologique. Ils viendront avec leurs propres contenants mais ils pourront aussi en trouver sur place », poursuit la jeune créatrice. Sans Lamballage, c’est aussi un espace salon de thé où seront mis à disposition la presse locale, des livres sur le zéro déchet, cuisine, etc. « J’observe que de plus en plus de gens mangent le midi dans leur voiture. Je mettrai à leur disposition un micro-onde pour qu’ils puissent manger chaud tout en consommant une boisson au choix ». Enfin, l’un des objectifs du zéro déchet étant de transformer les matières premières, des animations et ateliers seront proposés afin d’apprendre à cuisinier, à fabriquer des cosmétiques et des produits d’entretien. Recherche de financement avec l’aide de la CCI Pour mener à bien son projet, Justine Genty a investi 48 000 euros. « Je n’ai subi aucune réticence des banques et les prêts viennent tout juste d’être débloqués ». Les travaux pour aménager le local de 110 m² ont démarré. « La CCI m’aide à monter un dossier Pass Commerce et Artisanat en vue d’obtenir un financement auprès de la Région Bretagne (pouvant aller jusqu’à 7 500 euros) pour m’aider dans l’aménagement de mon épicerie ». Sans Lamballage devrait ouvrir ses portes courant février. « Je n’ai fixé aucune date officielle d’inauguration précise car je ne veux surtout pas me mettre la pression. Mon souhait est d’accueillir chacun dans les conditions optimales ! », conclut Justine Genty. Source : https://www.bretagne-economique.com/actualites/sans-lamballage-la-vague-de-lepicerie-vrac-arrive-lamballe-22-avec-louverture-dun-premier

Sans Lamballage. La vague de l’épicerie vrac arrive à Lamballe (22)  Lire la suite »